Accions

CCMRS 2020 Ouvrir des espaces 2020/01/17

De teixidora

Esdeveniment ¬ sessió • Forma part de: Commons Camp Marsella_2020

Calendar Noun project 1194.svg

CCMRS 2020 Ouvrir des espaces



Commons Camp - Maison Arménienne de la jeunesse et de la culture (MAJC) – Marseille - 17, 18, 19/01/2020


“… Ouvrir des espaces. Communs et practiques d'occupation spatiales: 3 questions, groups petits. introduction (Jules Desgoutte-Artfactories/autresparts) sur les enjeux des lieux intermédiaires et des communs et présentation par Yves Otis des règles du jeu "world café" et retoru de chaque group.




Steel Fire.svg

Documentació d'aquesta sessió


· Document (222488) - The Noun Project.svg apunts ·Android Emoji 1f4f7.svg Noun Project drawing icon 2123401.svg Imatges ·Android Emoji 1f4e2.svg àudio ·


Steel Fire.svg

Document (222488) - The Noun Project.svg Apunts i cròniques

Apunts presos a l'esdeveniment, cròniques, ressenyes i documents de conclusions.


Apunts

Apunts copiats al wiki:

https://pad.femprocomuns.cat/p/CCMRS17012020spaces

COMMUNS ÇA VA MARSEILLE ?

Commons Camp 2020 -

Session : Ouvrir des espaces : le commons camp au service de l’assemblée des lieux intermédiaires (3 questions)

Jour : Samedi 18/01/2020

Horaire : 



Ouvrir des espaces, les communs et les practiques d'occupation spatiales.

Après une introduction par Jules Desgoutte (Artfactories/autresparts) sur les enjeux des lieux intermédiaires et des communs, 3 questions sont abordées successivement en petits groupes parallèles pour alimenter l'assemblée des lieux intermédiaires de marseille qui suivra.

Chaque question est introduite par une personne du réseau des llieux intermédiaires et indépendants : Joel Lécussan , Emmanuelle Gourvitch, Pierre-Alain Cardona,

1 = COMMENT UN LIEU INTERMEDIAIRE PEUT FAIRE COMMUN ?

2 = SUR QUEL(S) PILIER(S) BÂTIR NOTRE RÉSEAU ?

3 = QU'EST CE QUI FERAIT QUE VOUS VOUS EMPARERIEZ D'UN LIEU INTERMEDIAIRE

La présentation de la séquence par Yves Otis rappelle les règles du jeu "world café" et la demande de retour de chaque groupe

Introduction:

Communs & pratiques spatiales (text de Jules Desgoutte)

Cette après-midi, le Commons Camp va resserrer un peu son travail autour d'un objet : de quelles manières se constituent les communs sur le plan du rapport à

l'espace ? A travers quelles pratiques spatiales ?

Il y a un lien évident entre le retour des communs dans le débat public et le développement des pratiques d'occupation. Il suffit de citer les nombreux mouvements

sociaux qui se sont structurés ces dernières années depuis l'occupation de l'espace public pour l'apercevoir – le mouvement des indignés espagnols (mouvement

3M), Occupy wall street, les Nuits debout, les Gilets Jaunes, la place Tahrir... Plus difficile est d'expliciter ce lien qui unit pratiques d'occupations et commun(s).

Les pratiques d'occupation d'espace composent une grande famille, laquelle peut se déployer selon l'analyse de leur rapport à l'action.

Une pratique d'occupation construite depuis l'antagonisme d'un rapport politique à l'action, c'est par exemple le squat, dont l'objet est de contester l'institution de la propriété privée.

Une pratique d'occupation construite depuis la transformation du rapport au travail, ce sont par exemple les tiers-lieux, qui redéploient l'organisation du travail depuis

l'hybridation des organisations spatiales du lieu de vie et du lieu de travail.

Cette après-midi, nous allons nous intéresser plus particulièrement aux lieux intermédiaires, qui occupent une place particulière dans ces pratiques d'occupation

spatiales : celle du rapport à l'ouvrage. Pour expliquer un peu ce que cette assemblée des lieux intermédiaires fait au milieu du commons camp, il faut ainsi revenir à

la fois sur ce que c'est qu'un lieu intermédiaire et comment l'histoire de ces lieux se noue avec celle des commun(s).

Ces lieux sont d'abord des lieux d'art et de culture, des lieux de pratique artistique, des lieux où faire œuvre, où entretenir un rapport à l'ouvrage. Oeuvriers, les occupants des lieux intermédiaires

construisent leurs pratiques d'occupation guidés par un enjeu de production artistique, de réalisation d'une œuvre, de partage d'une création...

Qu'est-ce que cette pratique travaille comme commun ?

Pour introduire les communs, on dit souvent qu'un commun se constitue de trois éléments: une communauté, une ressource, des règles encadrant son usage et assurant sa pérennité. Ces règles se constituent à travers l'usage de la ressource, depuis ce qui se qualifie comme processus d'auto-organisation. Ainsi, la communauté se constitue en se dotant elle-même de ses propres règles, depuis cette horizon d'une préservation de la ressource, horizon à laquelle elle se trouve lié intimement, puisque n'existant que depuis l'usage de la ressource, la disparition de la ressource serait également la disparition de la communauté. De ce point de vue, ce qui fait des lieux intermédiaires des communs, c'est évidemment le rapport à l'espace.

L'histoire des lieux intermédiaires a commencé à la fin des années 80, avec la désindustrialisation des centre-ville et la vacance d'espaces industriels délaissés. Des délaissés urbains, disait-on alors. Des friches. L'occupation de ces friches par des collectifs constitués d'artistes, d'habitants, de militants, depuis des pratiques artistiques et un rapport à l'ouvrage, est la pratique spatiale constitutive des lieux intermédiaires. A l'époque, on parle de friches culturelles, de nouveaux territoires de l'art, de fabrique artistique... La ressource constituée par ces lieux pour les communautés qui les occupent, c'est évidemment la disponibilité spatiale. Cette

denrée devenue si rare dans l'espace urbain, ce n'est pas seulement de l'espace, mais la possibilité de disposer de cet espace librement : de le transformer, de le reconvertir par l'usage et depuis l'autonomie qu'exige le rapport à l'ouvrage. Pour oeuvrer librement, il faut pouvoir disposer librement de l'espace dans lequel se déploie son rapport à l'ouvrage. La disponibilité spatiale comme ressource est ainsi fondatrice de ce qui fait commun dans les lieux intermédiaires : c'est depuis la maîtrise des usages qu'ils développent des espaces qu'ils occupent, que ces lieux se sont constitués en communautés, déployant leur propre règles. C'est également dans ce mouvement d'auto-détermination qu'ils se sont nommés eux-mêmes lieux intermédiaires et indépendants à travers la création de la CNLII, coordination nationale des lieux intermédiaires et indépendants. Artfactories/autresparts, le réseau dont je m'occupe, plateforme de réflexion et centre de ressource pour et par les lieux intermédiaires qui le compose en tant que réseau, a participé de ce mouvement et c'est évidemment dans l'intention d'approfondir l'examen des conditions dans lesquelles les lieux intermédiaires peuvent faire communs que nous avons voulu porter ici ce rapprochement.

A Marseille, les lieux intermédiaires ont une longue histoire. On a parlé de la Friche Belle de Mai, et de la façon dont elle est devenue une institution publique, perdant de son caractère de commun. Ici, avec nous, il y a le zef, qui est la fusion de la Gare Franche, un lieu intermédiaire, avec une scène nationale, le Merlan. Il y a le Comptoir de la Victorine, dont le toit a brûlé. Voilà qui montre à la fois l'ancienneté et la variété de ces pratiqes sur le territoire marseillais, mais aussi leur fragilité et quelques uns des périls qui les menacent. Construire une assemblée des lieux intermédiaires, c'est adresser ce défi à la communauté des acteurs marseillais : comment faire de nos agir multiples une politique publique ? Comment s'assembler ? Comment se raconter ? Comment transmettre les savoirs qui se sont constitus et qui s'expérimentent au quotidien dans nos lieux ?

Pour avancer sur ce projet, nous avons avec nous France Active, qui propose de la formation et de l'accompagnement aux structures de l'ESS et s'est emparé du rapprochement entre culture, commun et ess. Nous avons la direction de l'action culturelle de la Ville de Marseille, qui réfléchit à la définition d'une ligne de politique publique pour les lieux intermédiaires, nous avons la CNLII, qui travaille à l'échelle nationale à la reconnaissance des ces lieux par l'acteur public. Puis nous avons tous les acteurs des communs ici rassemblés, à qui nous allons maintenant proposer de contribuer à la constitution d'une assemblée des lieux intermédiaires marseillais.

Questions abordées :

COMMENT UN LIEU INTERMEDIAIRE PEUT FAIRE COMMUN

groupe1 : Mireille – Thomas – Patrick – David –

Rédaction David Gabriel

Ce groupe a abordé trois expériences autour des espaces publics : un nouvel espace en cours de création dans les quartiers nords, la Plaine et la place Louise Michel (faire le lien avec les balades qui se sont déroulées le dimanche).

Un nouvel espace dans les quartiers Nord

Présentation d'une expérience en cours de création. Le principale talent de l'Hôtel du Nord est de créer des liens de voisinage. Nous avons tout un réseau, des habitants individuels, des associations, centres sociaux, artistes. Nous organisons souvent des marches rassemblant tout un réseau. Au cours des derniers mois, nous avons construit une coopération avec Yes We Camp. Ce groupe  a été interpellé par un propriétaire privé qui voulait refonder un lieu de 16 hectares destinés aux habitants pour en faire un lieu de promenade.  Il s'agit de donner la main pour être deux forces qui se complétent pour un premier travail de commun.

L'espace public de la Plaine

Présentation de l'histoire de la plaine et son actualité par Patrick Lacoste, Un Centre Ville pour Tous.

Nous pouvons considérer la Plaine comme un commun. C'est un vaste espace public multi usage : le vendredi soir, des habitants vont aux spectacles tandis qu'un autre jour, c'est un marché bas de gamme. La nuit c'était  parfois une pissotière avec un service public défaillant. Le mercredi c'était approprié par les enfants. Ce n'est pas un commun au sens propre, car il n'y avait pas vraiment de règle. Mais, il y avait une forme de consensus social très informel. Les gens se brassaient, une certaine culture anarchiste du quartier entre le cours julien et la plaine. Dans les années 80 il y a eu la fermeture du marché de gros. Ensuite le lieu a été très investit par les petits groupes culturels, qu'on voit aujourd'hui formalisé. C'est un lieu assez créatif. Au cours des dernières années, il y a eu une lutte contre la destruction d'un commun. Ue étape essentielle a été la création de l'assemblée de la plaine. Il y a eu des manifs de 2000 personnes. Pourtant les pouvoirs publics sont en train de réalisé leurs projet (Note à compléter avec ceux concernant la balade avec Maria).

--> Lien vers la marche de dimanche

La place Louise Michel à Belsunce`

Des associations de quartier, femmes, commerçants, conseil citoyen ont mené une bataille pour que cette place soit réaménagée pour les habitants, notamment les vieux habitants magrhébins qui habitent dans les logements sociaux à proximité. La mairie de droite a permis qu'elle s'appelle Place Louise Michel. Le collectif ETC a meublé la place de façon sauvage, aménagement provisoir (grâce à une subvention PV). Le terrain appartenait à une organisme HLM de la ville . Cela a permis d'avoir un espace pour les enfants: alors que c'était inhospitalier...

--> Lien vers la marche de dimanche

  • * *

Discussion :  La place publique à Marseille est dévolue par les pouvoirs publics pour être un espace de passage pour les 2 millions de touristes et les 5 millions envisagés. Cela créé des espaces inhospitaliers, impersonnels, pas de banc, on peut pas s'assoir, il n'y a pas d'arbre. Très désagréable pour l'habitant

Mais dans les deux exemples ce qui a fait commun c'est la projection commune, l'imaginaire. Le partage de cet imaginaire commun c'est cela qui a unit les gens

  • * *

1) COMMENT UN LIEU INTERMEDIAIRE PEUT FAIRE COMMUN

François, Elisabeth et Etienne (de Marseille), Selma (rédaction) et Jaouad (de Grenoble)

Les lieux intermédiaires sont souvent associés à une dimension artistique.

Gestion et activité ouverte aux gens d'ici

Quels accès ? Quelles limites ?

- dépasser les groupes clôts

- ceux qui travaillent ou pas

Réflexion : quels noyaux, le liens des identités aux structures

Faire de bonnes ententes, trouver des consensus, cela souligne la nécessité de développer un bon relationnel, mais comment dépasser les divisions socialies structurantes dans la société ?

il y a besoin de se sentir l'égitime de partciper pour rejoindre ce genre de dynamiques (avoir un capital culturel, des ressources, etc...). Il faut soigner l'entrée, l'interaction

des personnes très diverses dans ces associations qui elles-mêmes développent l'ouverture.

Exemples de lieux :

- La Friche et autres lieux, surtout artistiques

- La Villa Clément à Grenoble essentiellement porté par un collectif d'assos n'a pas l'habitude de travailler dans la dynamique des communs, apprentissage.

- Cap Berriat est un squat d'artistes puis d'assos qui ont profité d'une normalisation par l'Etat.

Des lieux intermédiraires de quoi ? Des intermédiaires auprès d'insitution plus rigides (comme l'Etat) ?

2) SUR QUEL(S) PILIER(S) (forces) BÂTIR NOTRE RÉSEAU ?

Bénédicte, Thérèse, Claire (de Marseille), Nicolas (de Ferney Lausane), Selma (de Grenoble)

Circulation des infos ?

Souvent ça passe par les mails des organisations, le bouche à oreille

Remix the commons est une des organisations à l'origine du mouvement (commoners // droit au logement)

Il faudrait écrire l'histoire à mesure qu'elle se crée, pour pouvoir transmettre les lignes de cette histoire aux nouveaux.

Notre réseau de lieux intermédiares ?

A Marseille, l'assemblée deslieux intermédiares naissante : reconnaissance comme acteur majeur de la ville, pôle plus important que scènes nationales par exemple qui profitent pourtant de plus de financements.

Art Factories travaille cette question avec la ville.

Il y a nécessité de structurer le réseau.

 Les lieux devraient être pensés en lien avec une démarche de création de réseau (même sans lieu en relais avec la ville, organe médiateur entre les citoyens et la société)

Exemple : Le 164 (une école de danse avec ouverture à d'autres approches du corps) : les artistes entrent dans le lieu mais pas trop dans le réseau (réseau de lieu, de culture, de connaissance,...)

Les structures para-publiques voient leurs structuration accompagnée par la mairie, l'état, etc...

L'argent ? gratuité ?

DLA accompagnement

Connaissance des écosystèmes, importance de l'ancrage

Il faut de la communication à différents niveaux.

3 = QU'EST CE QUI FERAIT QUE VOUS VOUS EMPARERIEZ D'UN LIEU INTERMEDIAIRE ?

Vi, Elsa et Léna (de Paris), Catherine et Maxime (de Marseille), Mamy et Selma (de Grenoble), Vito, Noemi et Lucas (de Naples), Mauro (de Barcelone)

A Paris, le  59 rue Rivoli est un lieu institutioonnalisé qu'on loue à la mairie, ce n'est pas vraiment un lieu intermédiaire?

- "Si je peux apprendre gratuitement"

- "Si je peux habiter, travailler, faire ce que j'aime gratuitement en accord vec les valeurs"

A Grenoble, il y a Le Patio Solidaire : un côté bureau, un aspect art ; la problématique de la migration, des frontières ; un espace occupé par des personnes diverses d'où le lieu a pu naître

- "Le sens de l'ancrage dépend de l'action : communication, connaissance, partage..."

Les ressources numériques sont-elles à gérer comme un bien commun ? Quelle liberté y-a-t-il dans le numérique ?

- "Les conversations, le lien social dans ce lieu".

Yes we can fait de l'accompagnement de microprojets, on veut outiller les gens?

- "La notion de vide dans le lieu pour pouvoir m'y intégrer"

La Gare Franche est un lieu d'art en lien avec le territoire avec des subventionss, jardins, hébergements et diverses pratiques

-"laisser place à l'innovation"

-"faire un squat"

-"partager des moyens de production, de l'art, le lieu et les idées, faire débat" tout ça est de l'interdépendance (comme le lieu à Napples)

L'asilo (ancien orphelinat...) Faire avec sens, le sens vient de la coopération, partager du temps, faire au mieux, pas une seule appartenance, "it's a process, our target is the process", pas de majorité ni de minorité.

Fondation des communs (lien avec les autres, question légale)

Can Batllo à Barcelone

A compléter par les notes, photos, prises pendant les balades....


link-3D#Documentació

link-3D link-3D Imatges

Imatges de l'esdeveniment. Fotografies, relatoria gràfica, esquemes, etc.

Communs 101 Commons camp Marseille 2020 01.jpg, Communs 101 Commons camp Marseille 2020 02.jpg, Ouvrir des espaces.jpg, Commons Camp Marseille - Synthèse graphique 2.png


Steel Fire.svg

Android Emoji 1f4e2.svg Àudio

Enregistrament sonor de l'esdeveniment o relatiu a l'esdeveniment.

el taller Noun 21753 cc.svg

Col·labora completant o afegint la documentació que falta.

Teixidora Rĕzboiul saŭ stativele 1898 PD.svg

Hi ha: > Document (222488) - The Noun Project.svg apunts o cròniques > Android Emoji 1f4f7.svg Noun Project drawing icon 2123401.svg imatges > Android Emoji 1f4e2.svg àudio

No s'ha incorporat documentació de:

  • Presentation icon BLACK-01.png Presentacions o material projectat
  • Android Emoji 1f3ac.svg Vídeo



Fotografia: Jae 2009 CC-by-sa 2.0 Wikimedia Commons. Cusco, Perú
Steel Fire.svg

Teixim connexions

Teixim una xarxa de connexions partint d'aquest esdeveniment'. Extraiem i etiquetem continguts de la documentació generada per explorar relacions amb altres esdeveniments, identificar narratives, elements pel debat i generar cartografia dels actors implicats.

Fotografia: Jae 2009 CC-by-sa 2.0 Wikimedia Commons. Cusco, Perú
Steel Fire.svg

Metadata - The Noun Project.svg Metadades

Informació estructurada de l'esdeveniment que permet connectar-lo amb altres continguts a Teixidora.


Paraules clau: pràctiques espacials, debat públic, pràctiques d’ocupació, moviments socials, squat, tiers-lieux, lieux intermédiaires, obra, llocs d’art i cultura, llocs de pràctica artística, desindustrialització, friches, espais industrials abandonats, friches culturelles, fàbrica artística, espai urbà, política pública, propietat d’ús, autoorganització, registre territorial, serveis

Mostra paraules clau en altres llengües · castellà ·anglès ·francès ·italià ·

Paraules clau en castellà: prácticas espaciales, debate público, prácticas de empleo, movimientos sociales, squat, tiers-lieux, lieux intermédiaires, obra, lugares de arte y cultura, lugares de práctica artística, desindustrialización, friches, espacios industriales abandonados, friches culturelles, fábrica artística, espacio urbano, política pública, propiedad de uso, autoorganización, registro territorial, servicios

Paraules clau en anglès: space practices, public debate, employment practices, social movements, squat, tiers-lieux, lieux intermediaires, work, art and culture venues, art practice sites, deindustrialization, friches, abandoned industrial spaces, friches culturelles, art factory, urban space, public policy, self-organization, services Paraules clau en francès: pratiques spatiales, débat public, pratiques d'occupation, mouvements sociaux, squat, tiers-lieux, lieux intermédiaires, ouvrage, lieux d'art et de culture, lieux de pratique artistique, désindustrialisation, friches, espaces industriels délaissés, friches culturelles, fabrique artistique, espace urbain, politique publique, maitrise d'usage, auto-organisation, inscription territoriale, services Paraules clau en italià: pratiche spaziali, dibattito pubblico, pratiche occupazionali, movimenti sociali, squat, tiers-lieux, lieux intermediaires, luoghi di lavoro, arte e cultura, siti di pratica artistica, deindustrializzazione, friches, spazi industriali abbandonati, friches culturelles, fabbrica d'arte, spazio urbano, politica pubblica, auto-organizzazione, servizi

Mostra paraules més freqüents al text

Intervinents:

Persones mencionades:

Projectes mencionats: Lézard à part, Le couvent, Assemblée de la Plaine, Place Louise Michele, Nouveau projet Hotel du Nord, Yes We Camp, Cap Berriat, Le Patio Solidaire, Villa Clément, La gare Franche, 59 rue Rivoli, assemblée des lieux intermédiaires marseillais

Organitzacions mencionades: CNLII (coordination nationale des lieux intermédiaires et indépendants),   Artfactories/autresparts, Friche Belle de Mai, Gare Franche, Merlan, Comptoir de la Victorine, France Active, la Ville de Marseille, Ex Asilo Filangieri

Llibres i publicacions citades:



Steel Fire.svg

Aufgabe-ankreuzen.svg Diagnòstic

Diagnòstic i/o avaluació que s'ha fet a l'esdeveniment.

Riscos / debilitats / mancances


  • Comment un lieu intermédiaire peut faire commun ,
  • La place publique à Marseille est dévolue par les pouvoirs publics pour être un espace de passage,
  •  comment dépasser les divisions socialies structurantes dans la société ?

Oportunitats / fortaleses


  • Rendre un lieu et ses pratiques comme Commun. ,
  • Partage d'un imaginaire commun dans l'espace public (ex : la Plaine, place Louise Michel).,
  • Liens entre les lieux et les réseaux,
  • Liens entre lieux et communauté

Propostes



el taller Noun 21753 cc.svg

Col·labora estructurant els resultats a partir de la documentació existent

Teixidora Rĕzboiul saŭ stativele 1898 PD.svg

A més dels resultats mostrats en aquesta pàgina, Teixidora permet mostrar de forma estructurada els següents resultats:

  • Cites (què s'ha dit)



  • Alternatives

Si creus que d'aquesta sessió se'n poden extreure alguns d'aquests resultats edita la pàgina i posa-ho a les caselles previstes a la secció "resultats".

Hakka migration map (c).svg


Steel Fire.svg

Lloc

Steel Fire.svg

Mapa d'ubicació

Breathe-network-workgroup.svg

Localització: ·









Teixidora Rĕzboiul saŭ stativele 1898 PD.svg

el taller Noun 21753 cc.svg

Noun project - plus round.svg Afegir a teixidora esdeveniments similars a aquest

(es copiaran els continguts principals però no el títol ni el buidat)

Afegir esdeveniment que sigui... Noun project - plus round.svg amb mateixos organitzadors i lloc Noun project - plus round.svg al mateix lloc


Recycling symbol.svg Reutilizació de continguts : els continguts de teixidora es poden re-publicar en viu a altres webs.

Rss Shiny Icon.svg sindicació Atom d'aquesta pàgina Rss Shiny Icon.svg sindicació RSS d'aquesta pàgina Calendar Icon v1.svg Afegir a un calendari amb iCal